Mots clés de pathologie clinique homoeopathique (Dr RS) (Dr AH) et groupe de remèdes
Mots clés de pathologie clinique homoeopathique (Dr RS) (Dr AH)
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Mots clés de pathologie clinique homoeopathique (Dr RS) (Dr AH)

et groupe de remèdes (Dr EBN)

(7 ème mise à jour)

 

Mots clés (Docteur Robert Séror)  (<>) et Groupes de remèdes (Docteur Eugène Beauharnais Nash)  Version Française (<>).

 

Recettes Homéopathiques (Docteur Alain Horvilleur) (Lyon) (<>)

 

 

Introduction :

 

Lorsque l’on a prescrit et répertorié durant de nombreuses années (50 années environ), on se rend compte que pour un diagnostic donné, l’analyse répertoriale pointe toujours vers le même remède ou le même groupe de remèdes.

 

En pratique de tous les jours, le médecin généraliste homoeopathe conventionné n’a pas de temps à perdre, et en première intention, et si, il n’y a pas urgence, on peut prescrire d’emblée le remède qui vient le plus souvent en pratique quotidienne.

 

Je sais bien qu’en technique pure, il ne faut pas procéder ainsi, mais en pratique, l’analyse répertoriale avec le répertoire de Kent, ou mieux celui de Boger, pointe pratiquement toujours vers les mêmes remèdes.

 

Kent, Tyler et Boger pratiquaient de cette manière.

 

Mon Maître Robert Dufilho, qui avait une maladie chronique avait été consulter à Londres, Le Docteur Margaret Lucy Tyler : quelques questions et d’emblée prescription du remède de fond.

 

C’était le bon, mais elle a fait l’erreur de lui donner le nom du remède (qu’il n’a pas pris).

 

Moralité, lorsque je soigne un confrère, je ne lui donne jamais le nom de son remède de fond.

 

Je lui envois son remède sans étiquette.

 

Il alla ensuite consulter Pierre Schmidt  qui lui donna le remède que Robert Dufilho considérait comme étant le sien, il le prit = échec.

 

Timothée Field  Allen disait que passer sur une table d’opération, signifie que l’on a échoué, c’est vrai pour nous, Médecins Homéopathes, mais en 1963, ce fût une intervention, qui le guérit définitivement de son ulcère.

 

Aucun symptôme de suppression, il vécut juqu’à 92 ans et mourut de chagrin 6 mois après le décès de son épouse.

 

En cas d’échec, il faut reprendre son cas, et bien sûr répertorier.

 

Dans la seconde partie de cet article, je reproduis en Français, les Key Words et les symptômes que Nash, partant de la même idée a énoncés.

 

Ainsi, avec ces seules données purement empiriques peut-on dans un nombre elevé de cas, prescrire en première intension le bon remède.

 

Æ Dans les lignes qui suivent, les remèdes indiqués sont le fruit de prescriptions répétées des centaines de fois, et surtout vérifiées quant au résultat clinique.


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