2012 Décembre

Introduction à la famille des Rosaceae

de Jan Scholten, Deborah Collins

Les Rosaceae, la famille des roses, appartiennent à l’ordre des Rosales. Aux roses, qui nous sont si familières, s’ajoutent de nombreux fruits et baies, telles la pomme, la poire, la fraise, la framboise ou la mûre, ainsi que des fruits à noyau, tels la pêche, la cerise ou l’abricot. Tout comme les roses de nos jardins, elles sont souvent, mais pas toujours, des plantes épineuses protégeant leurs fruits par des épines redoutables le long de leurs branches.

Un grand nombre de ces plantes contiennent les précurseurs de l’acide cyanhydrique, un des poisons les plus puissants connus. Nous pouvons donc déjà voir apparaître les thèmes de cette importante famille : la douceur du fruit et l’aspect « épineux » de son système de protection ; l’aspect étouffant, accompagné de difficultés respiratoires et de suffocation, émanant de la présence du cyanure.

L’homéopathie utilise plusieurs de ces plantes, bien que jusqu’à très récemment, la plupart d’entre elles étaient peu connues en tant que remèdes. En comprenant les thèmes de cette famille, et les sensations qui lui sont propres, il est devenu plus facile de les reconnaître et donc de les prescrire. Le remède bien connu, Crataegus oxyacantha (aubépine) par exemple, est depuis longtemps utilisé dans les pathologies cardiaques et son caractère « épineux » est évident. Il y a encore peu de temps, cependant, nous ne prenions pas en compte le contexte plus large de son appartenance à la famille des Rosaceae : pathologies cardiaques liées aux problèmes de l’amour (romantique) et des relations amoureuses.

Jan Scholten décrit le thème général des Rosaceae en ces termes : « La douleur d’un cœur brisé » ; le cœur et le système circulatoire étant leurs domaines de prédilection. Chaque membre de cette famille gère d’une manière différente les problèmes causés par l’amour romantique et ses possibles pièges.

La rose est un symbole de l’amour romantique, avec ses fleurs magnifiques et délicatement parfumées. Elle est souvent offerte par les amoureux et pare les bouquets de mariées. La pomme, elle aussi, est un symbole de l’amour et de la sexualité. Les problèmes liés à l’amour peuvent aussi s’exprimer au niveau sexuel, comme nous le voyons dans les rubriques : aggravé par le coït, pleurs, tristesse et irritation.

Les patients ayant besoin d’un remède de la famille des roses peuvent avoir tendance à idéaliser l’amour ; ils rêvent du « prince charmant sur son cheval blanc » ou de « l’inaccessible princesse ». Lorsqu’ils se sont engagés dans une relation, ils ont tendance à tout donner. Ils peuvent être doux et « sucrés », comme la pêche ou la cerise. Ils sont souvent gais, désirant semer le bonheur autour d’eux, mais il arrive fréquemment qu’ils donnent plus qu’ils ne reçoivent. Ils sont tellement pris par leur amour qu’ils en arrivent à ne plus avoir d’espace pour eux-mêmes ; plus de place pour respirer. Ils exigent que l’amour soit parfait et exclusif ; les infidélités sont absolument exclues. Ils peuvent être amoureux de quelqu’un d’inaccessible ou qui ne les aime pas de la même manière. Ils pensent alors qu’ils ne sont pas « aimables ». Ils peuvent finir par se sentir vidés, ayant tout donné en vain. Si leur amour reste inassouvi ou pire, trompé, ils peuvent en tomber malades, physiquement et émotionnellement. Ils peuvent devenir irritables, coupants, blessants ; les épines sortent.

Bien que cet aspect soit généralement associé avec l’amour romantique, ces remèdes peuvent aussi être utilisés pour des patients qui se jettent passionnément dans leur travail ou autre activité, donnant tout ce dont ils sont capables, et qui finissent désillusionnés, déçus par ceux qui les entourent.

Comme nous le montre Ulrich Welte dans son article, le thème de l’amour inassouvi se retrouve aussi chez les Natrium. Dans les Rosaceae, cependant, le patient est habituellement doux et ouvert, différent en cela de l’aspect renfermé de Natrium. Les Sulphur ont aussi des problèmes relationnels mais ils sont moins idéalistes, utilisant maquillage et vêtements pour séduire. Ils ont tendance à être sanguins et chauds, arborant des lèvres rouge vif et n’ont pas de problèmes cardiaques ou respiratoires spécifiques. Les Rosaceae, elles, ont tendance à être cyanosées, avec des lèvres bleues.

Généralités
Désirs : sucreries, fraise, pêche, prune, pomme, poire, abricot, mûre, framboise, etc.
Aversions : semblables aux désirs
Nourriture : aggravé par les fruits à noyau
Génitaux : règles douloureuses, irrégulières
Il est parfois possible de reconnaître un remède des Rosaceae par les désirs, aversions ou allergies à un fruit particulier.
Symptômes physiques
Vertige, évanouissement
Neurologique : convulsions, épilepsie, tocs, spasmes, trismus, opisthotonos, coma, céphalées
Bouche : brûlures
Poumons : obstruction respiratoire, asthme, dyspnée
Cœur : arythmie, infarctus, insuffisance cardiaque, décompensation, dilatation, hypertension, hypotension, angine de poitrine.
Pouls : rapide, lent, frappé, faible, fort, irrégulier
Artères : obstruction, artériosclérose
Estomac : nausées
Génitaux : vaginite, fluor albus
Peau : coloration bleue des lèvres, ongles, visage et bras

Dans le système de Jan Scholten, les remèdes sont organisés en étapes, selon la théorie des éléments. Seuls les thèmes généraux sont ici retranscrits.

Étape 1 : Acide cyanhydrique
Le remède aigu des Rosaceae. Le poison le plus toxique connu. Il a été utilisé dans la forme ultime de l’absence d’amour, l’extermination : Zyklon-B et les chambres à gaz nazies.

Étape 1.1 : Quillaja (bois de Panama)
Naïf, impulsif dans ses relations.

Étape 2 : Geum urbanum (benoîte commune)
(Voir Clarke pour une description complète)
Ils pensent qu’ils doivent s’adapter (étape 2) à leur partenaire, qu’ils ne peuvent rien faire pour eux-mêmes, parfois absolument rien. Ils pensent qu’ils doivent tout donner pour leur relation. Ils s’adaptent facilement, ce qui leur permet de remplir leur rôle, bien qu’ils leur arrivent parfois de penser qu’il n’est pas sain de se plier autant aux besoins de l’autre. Ils ont le sentiment qu’ils devraient garder un peu d’espace pour eux-mêmes mais cela peut engendrer un sentiment de culpabilité : « Si tu fais ça, ton amour n’est pas entier ! » Cette dualité peut leur donner le sentiment qu’ils n’ont pas assez d’espace pour vivre, pas assez d’air pour respirer, et peut provoquer une pathologie asthmatique.
Physique : asthme, problèmes urinaires, douleurs du pénis, douleurs abdominales perçantes

Étape 3 : Potentilla tormentilla (potentille tormentille)
Ils commencent une relation (étape 3). Ils ont le sentiment que rien n’est encore établi et qu’ils ne peuvent pas s’appuyer sur leur partenaire, ce qui peut entraîner tristesse, irritation, dispute ou indifférence. Ils peuvent être extrêmement irritables, essayant de forcer leur partenaire à faire un choix. Cette insistance peut le/la rendre encore plus hésitant(e) à s’engager ; la relation peut alors être perçue comme un piège d’où il sera impossible de s’échapper. Le résultat de cette tension étant une relation tourmentée. Il peut aussi arriver que ce soit eux qui ne puissent faire ce choix et que leurs doutes les détournent d’un mariage éventuel. Ils peuvent aussi tomber amoureux de quelqu’un d’inaccessible : une personne mariée, un prêtre ou un(e) homosexuel(le). Cela peut entraîner une relation triangulaire.
Physique :
Nez : sinusite
Bouche : inflammation buccale, saignements des gencives, gingivite aggravée par le mercure
Pharynx : inflammation
Estomac : ulcère, vomissements, saignements
Foie : ictère, diabète
Rectum : prolapsus, diarrhée, saignements, entérite, dysenterie
Génitaux : ménorragie
Membres : goutte
Peau : plaies, eczéma suintant, fissures des mains et des lèvres, contusions

Étape 4 : Sorbus domestica (cormier)
Ils ne supportent pas le manque d’ouverture de leur partenaire ; en fait, cela révèle la peur d’être trahi. Ils doutent de leur mariage et se demandent si leur partenaire les aime vraiment. Ils se demandent s’ils ont fait le bon choix, si leur amour est vrai et même s’ils doivent rester mariés. Il est possible que leur partenaire soit effectivement silencieux, n’abordant pas les questions importantes : « L’amour doit être ouvert, l’amour peut tout accepter. »
Physique :
Pathologies cardiaques, douleurs, palpitations, tachycardie, aggravé en s’allongeant sur le côté gauche

Étape 5 : Malus communis (pommier)
La relation est établie mais ils se demandent s’ils doivent la poursuivre. Ils doutent de cette relation : est-ce le bon choix ? Est-ce qu’il (elle) m’aime vraiment ? Serai-je assez fort ? Est-ce que je l’aime vraiment ? Leurs idéaux sont tellement élevés qu’ils en viennent à douter d’en être à la hauteur. Plusieurs situations sont possibles : ils peuvent avoir été séduits dans une relation qu’ils ne désiraient pas vraiment ; ils se demandent s’il existe un autre partenaire qui leur conviendrait mieux ou s’ils ne sont  pas un meilleur partenaire pour quelqu’un d’autre.

Étape 5.1 : Malus pumila (pomme paoma ou ménagère)
Illusion : que tout est sale, la nourriture, soi-même
Illusion : qu’on abuse de lui, qu’on l’agresse ; d’être sali, dégradé ; victime
Un sentiment de saleté est commun chez ceux et celles qui ont souffert d’abus sexuels ou de comportements inappropriés.

Étape 6 : Sanguisorba (pimprenelle)
Ils ont le sentiment que la relation ne va pas bien ; le partenaire les a choisi mais ne s’engage pas vraiment. Cela les met en colère et essaie donc de le/la forcer à s’engager. Il/elle doit prouver qu’il/elle les aime vraiment. La situation inverse peut aussi être vraie, ce qui leur semble aussi difficile. Ils ont tendance à choisir quelqu’un qui n’est pas vraiment disponible ; déjà marié ou vivant à l’étranger.
Physique :
Tête : congestion
Poumons : saignements
Intestins : dysenterie
Génitaux : règles abondantes, longues, ménopause, métrite
Jambes : congestion, varices, ulcères
Patients sensibles et irritables

Étape 7 : Alchemilla vulgaris (alchémille)
On trouve chez eux une qualité aimante et altruiste. Les erreurs sont recouvertes par le voile de l’amour. Ils veulent disséminer l’amour et l’harmonie de part le monde. Ils peuvent être très perfectionnistes dans leur travail et leurs actions, ce qui les pousse souvent à être très critiques envers eux-mêmes. Ils ont le sentiment qu’ils devraient pouvoir faire mieux. Dans leur relation, ce sont eux qui en font le plus, mais ils aiment cela. Même si leur partenaire n’est pas agréable, voire violent(e), ils continuent de l’aimer et de l’aider.
Physique : voir Boericke
Yeux : inflammation
Bouche : inflammation
Poumons : toux
Estomac : gastrite, entérite
Reins : œdème, oligurie
Génitaux : règles abondantes, leucorrhée, ménarche tardive, problèmes de ménopause
Peau : eczéma suintant, coupures, hématomes, suppuration des plaies.
Rêves : qu’il travaille trop dans une organisation caritative, refuse d’être remercié, donne des cadeaux
Illusion : que les autres sont semblables plutôt que différents.
Illusion : distant du monde

Étape 7.1 Agrimonia eupatoria (aigremoine eupatoire)
Leur partenaire ne va pas bien, émotionnellement ou physiquement, ou les deux. Il donne peu et se lamente sur ses problèmes ; c’est un poids lourd à porter. Au début, ils le font par amour mais après un certain temps, la situation devient trop lourde pour eux. Ils ne peuvent pas quitter leur partenaire par sens des responsabilités. Ils restent mais le cœur lourd. Ils ont tendance à éviter les problèmes au lieu de les affronter, survolent les difficultés en essayant de rester gais, en recherchant les diversions ou les échappatoires, comme la drogue ou l’alcool. Ils se forcent à être joviaux pour l’entourage et cachent leur souffrance et leur tourment.
Physique :
Faiblesse
Reins : douleur profonde, colique pointant vers la région lombaire, s’étendant vers les uretères ; urine trouble, malodorante
Génitaux : douleurs utérines

Étape 8 : Prunus spinosa (prunellier)
Leur relation est difficile. Ils ont le sentiment qu’ils doivent faire de gros efforts pour qu’elle continue, qu’ils doivent s’y abandonner totalement. Ils ont le sentiment d’être toujours occupés par leur partenaire ; ce n’est jamais assez, il/elle n’est jamais satisfait(e).Il/elle dit que leur amour n’est pas vrai ; la relation aurait déjà évolué. L’inverse peut aussi être vrai ; c’est eux qui demandent un amour exclusif de leur partenaire. La preuve de son amour serait qu’il/elle fasse tout pour lui/elle ; sa vie ne serait vouée qu’à leur amour et à leur relation. Cela finit souvent par provoquer beaucoup de tristesse, de chagrin, d’irritation et d’amertume.
Physique : voir Boericke, Clarke, Phatak
Maladies à la suite d’abus sexuels
Généralités : transpiration nocturne
Sensations : douleur fulgurante, pression vers l’extérieur, foudre, errance
Horaire : nuit
Aversion : nourriture ; aggravé par la nourriture chaude

Étape 9 : Cydonia vulgaris (cognassier)
Ils sont sous l’illusion que leur relation est presque satisfaisante, presque complète, qu’il leur suffira simplement de faire quelques petits changements ou corrections.
Physique : voir Culpepper
Pathologies après poisons mortels; hellébore blanche
Diarrhée, dysenterie

Étape 10 :
- Rosa canina (rosier ou églantier des chiens)
Ils voient l’amour comme noble et idéal. Il n’y a pas de faux-semblant. Dans la culture occidentale, l’idéal de l’amour est que l’on donne tout ; l’idéal de l’amour romantique ! Ils écrivent des poèmes à ceux qu’ils aiment.
- Rosa damascena (rosier de Damas)
Un symbole ancien de l’amour, le thème présent dans tous les membres des Rosaceae ! L’amour est idéalisé dans sa forme romantique la plus extrême, comme au temps des troubadours, l’idéal moyenâgeux de l’amour ne pouvant jamais prendre corps car trop idéalisé. Ils vivent dans un monde de pensées et de sentiments romantiques.

Étape 11 : Amygdala amara (amandier sauvage)
Voir Boericke
Yeux excessivement brillants, étincelants ; rire sardonique ; comportement joyeux

Étape 12 Crataegus (aubépine)
Il y a un excès d’action dans le domaine de l’amour. Ils ont tendance à vouloir trop bien faire et donnent trop. Ils ont le sentiment que les autres ou les circonstances s’opposent à eux, ce qui peut les amener à vouloir contrôler leur partenaire ou les circonstances au point d’adopter un comportement tyrannique. Ils deviennent très autoritaires et irritables à la moindre opposition perçue. Inversement, ils peuvent être sous le contrôle de leur partenaire qui peut les tyranniser. La Guerre des Deux-Roses : combattre et ne pas céder d’un pouce !
Physique : voir Boericke, Clarke, Grimmer, Phatak, Anschutz
Faible, épuisé, irritable, agacé, pressé
Mélancolie, désespoir, se sent faible et fragile
Engourdissement mental, confusion
Tranquillité, nervosité
Généralités :
Temps : amélioré par l’air frais, aggravé dans une pièce chaude, par le repos et le calme
Sommeil : insomnie des pathologies aortiques

Étape 13 : Rubus fruticosus (mûrier sauvage, ronce)
La relation n’est pas satisfaisante. Ils ont le sentiment de ne pas être assez aimés alors qu’ils donnent beaucoup. Leur partenaire est souvent irritable, exigeant, égoïste ou égocentrique, ce qui les amène à vouloir rompre la relation. Ils restent cependant car ils se sentent responsables de l’Autre ou parce qu’ils espèrent que les choses vont s’arranger. Ils ont le sentiment qu’ils ne peuvent pas quitter la relation, cela leur étant trop douloureux. Cette situation est bien illustrée par les ronces dont les épines sont tournées vers l’intérieur ; il est facile d’y entrer mais très difficile d’en sortir sans être sauvagement égratignés. Ils peuvent aussi être dans une relation avec quelqu’un pensant constamment à les quitter ; c’est comme s’il ne restait qu’une moitié d’amour ! Les circonstances peuvent aussi leur donner le sentiment d’être coincés dans leur relation. Ils se sentent emprisonnés par l’attention qu’ils portent à leur partenaire et à leurs enfants ; ils ne peuvent plus faire ce qu’ils veulent !
Physique :
Pathologies cardiaques, palpitations
Problèmes de prostate

Étape 14 : Spirea ulmaria (reine des prés)
Voir Boericke, Clarke, Hansen
La relation n’est plus que formelle ; elle ne contient plus rien.
Obsession morbide

Étape 15 ?

Étape 16 : Fragaria (fraisier)
Ils savent que la relation est finie mais  continuent de penser que leur partenaire leur reviendra, réalisant alors que leur amour était véritable. Ils peuvent attendre des années, même quand leurs amis, leur famille et eux-mêmes se rendent compte qu’ils courent après une illusion. Ils continuent de fantasmer sur un éventuel retour de leur ex-partenaire. Toujours remplis de cet amour, ils ne peuvent s’ouvrir à un nouvel amour, restent seuls et finissent « vieux garçon ou vieille fille ».
Physique :Évanouissement, étouffement, accident cérébral, convulsions, anasarque
Poumons : dyspnée, sarcoïdose, langue gonflée ; « langue-fraise »
Peau : urticaire, engelures
DD : Rosaceae, Arsenicum, Apis

Étape 17 : Laurocerasus (laurier commun, laurier cerise)
Ils vivent dans l’illusion que personne ne les aime et que personne ne peut les aimer. Ils pensent qu’ils ont perdu l’amour, et de ce fait renoncent à le rechercher. Cette attitude peut être la conséquence d’abus sexuels, de disputes avec les parents, de choc ou de frayeur. Il est compréhensible qu’une personne ayant une telle attitude n’ait pas envie de vivre, comme les nouveau-nés cyanosés. Ils se retirent de la vie, ce qui peut s’exprimer par des évanouissements, des problèmes cardiaques, des accidents cérébraux et des comas.
Illusions : voient de vieux hommes avec des visages déformés et de longues barbes.
Rêves : hideux, malchance, cadavres, personnes mortes
Peur et anxiété à propos de choses maléfiques imaginées.
Perte de mémoire après une frayeur, une douleur, etc.
Engourdissement des sens  
Maladies après une rupture, une frayeur, toute excitation

Rajan Sankaran organise les Rosaceae différemment, en utilisant les miasmes :

-         Aigu : Cyanure d’hydrogène, Pyrus americanus

-         Typhoïde : Amygdalus communis

-         Paludisme : Prunus spinosa, Rosa damascena

-         Tuberculose : Prunus cerasifera

-         Psore : Amygdalus persica

-         Lèpre : Laurocerasus

-         Syphilis : Crataegus

Photos: Wikimedia Commons
Rosa rugosa; Antoine Letarte
Geum urbanum; Randy A. Nonenmacher
Sanguisorba minor; Hans Hillewaert
Strawberry; Jeff Kubina

Catégories: Familles
Mots clés: roses, cyanure, cyanose, pathologies cardiaques, amour romantique, amours déçues
Remèdes:

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